Au rapport d'aujourd'hui...

[stef]

J'ai enfin pu toucher un peu de vent. Au lever, quelque part perché en camion sur une falaise portugaise, je sens que le vent commence à rentrer et l'orientation n'est pas off, plutôt du nord avec une composante ouest et des lignes de houle qui suivent. C'est pas la tempête mais on sent que ça pousse. Un petit tour sur les cartes pour trouver une plage accessible pas loin qui va prendre side-side-on et 30 minutes plus tard nous y voilà. Je peux sortir en Wave 12.5 ... 8.5 hummm je ne sais pas, on voit qu'il y a du jus en bas ... finalement je me dis que ce sera 10.5 car je ne l'ai testée que 2 fois dans de petites conditions en med et là ça c'est un peu plus "wild" avec un joli shore break à pas trop traîner dedans (il faut un peu compter pour sortir au bon moment). C'était le bonne taille avec la sweet potato 5'2 et la session était chouette, un peu de mal à me trouver un pic et du coup ça c'est fini à aller chercher un peu trop prêt du bord, aile à l'eau ... heureusement que ça redécolle bien une wave

Eau fraiche (comme toujours au Portugal), température clémente et beau soleil, le tout un peu sauvage seul sur l'eau (et pratiquement sur la plage). Bref, de quoi se sentir en vie.

[nicolasroro]

Bonsoir,

Col de Cenise (74) - dimanche 6 février 2022

Au vu des prévisions, entre dégradation en cours de journée et vent de SO qui doit forcir, annonçant la dépression qui arrive, Marc et moi programmons une classique. Montée verglacée par le Petit-Bornand, ce n'est pas continu mais toujours dans des endroits exposés.

Pas ou peu de vent au parking, on monte tranquille à pied jusqu'au bâtiment sous la croix. Le vent arrive avec le soleil qui apparaît au-dessus du pic de Jallouvre. Départ vers 10h45, Marc en Navy11 :


Plus fort sur la crête du col, environ 8 à 10 noeuds :


Hier, j'ai fait la combe de Sotty en randonnée (à droite du milieu de la photo). Vu du haut, le plateau sortant du brouillard était vierge de trace. Aujourd'hui, il était tracé à certains endroits. J'en déduis que des kiteurs sont venus en fin de journée. Comme c'est assez compact, les traces peuvent facilement déstabiliser :


Une demi-heure après nous, trois voiles nous succèdent côté Petit-Bornand et deux autres voiles côté Morsullaz :


Avant la pause de midi, le vent prend les tours (un peu plus de 15 noeuds), c'est visible à droite du Jallouvre. Je suis trimé à fond en Pulsion12 :


Après la pause, vers 13 heures, soleil voilé mais soleil quand même :


La neige est particulière, avec plusieurs couches, il faut se faire léger sur les appuis lorsque le fond n'est pas dur :


A l'ouest de l'arête de Chevry, la couche de neige est moindre donc plus portante, et la surface est souple, c'est plus agréable :


Vers 14 heures, ça se dégrade franchement, le mauvais temps arrive côté Jura :


On a hésité à un moment à gréer les petites voiles mais le vent ne s'est pas vraiment renforcé et il est devenu irrégulier : il alternait entre 6 et 12 noeuds. Puis, on commence à sentir quelques coups de boutoir dans la voile. Le jour blanc s'installe, Marc me rejoint vers 14h30, on plie.
Aujourd'hui, grosse affluence à Cenise, avec une quinzaine de voiles au plus.

[balboxl]

"Samedi sketchy" le weekend dernier.
On se retrouve avec A. et un pti nouveau, J.. J'arrive deux minutes en avance au rendez-vous comme toujours, 'tain A. est déjà là , j'avais dû tellement être désagréable les 10 dernières fois où je l'ai attendu (y compris les fois où on se retrouve chez lui !), que ça a fini par payer. Sauf que... J. est à la bourre. Le sketch a commencé dans la nuit, quand il s'est rendu compte qu'il n'avait plus de futal de ski (pourtant c'est un passionné de ski), A. lui en prête un. Sur le parking, le mec nous dit qu'il vient de tilter qu'il a zappé son harnais , il habite soi-disant à 10 minutes, on passe prendre le sien, plutôt que chez moi (qui pour le coup, est vraiment à 10 minutes). Mais c'est plutôt un bien, car en le charriant pendant les 20 minutes de route (bah oui, il habite en plein centre-ville...), on se rend compte qu'il n'a pris que sa 11 ("bah oui, le snowkite c'est toujours light non ?"). Pour un mec qui a soi-disant une culture montagne, ça m'étonne. Bref, le mec revient avec son harnais, sa 9 et sa 6 (mais en ayant oublié de prendre le tournevis qu'il devait prendre aussi), et on part.

Direction Puymorens, c'est prévu très Nord, donc bien pour ce spot. De plus, la neige y a l'air d'être meilleure qu'à Ascou (trop soufflé), et puis à Ascou, c'est prévu plus bouché, et de neiger, tandis qu'il y a des chances d'éclaircies à Puymorens. Cette partie des prév se révèlera exacte, le vent... moins.
C'est laaaight dans le col. Donc on tente même pas les crêtes sur le côté Ouest. J. n'a pas l'air le plus dégourdi, A. mange direct (oui, il est déjà 11h30 avec ces détours), j'ai envie de rider, j'y vais, "j'irai l'aider à décoller quand il aura gonflé et gréé". Bonne option, aidé par une bascule Ouest, je réussis même à passer le verrou du refuge côté Est, et à grimper dans la pente, magik 15 assure le job de manière exemplaire.

Petit repérage à la montée, descente aile en bord de fenêtre : vent constant et light, mais neige pas top -> les feux sont au vert pour du vol de pente, c'est l'objectif de la session, avec training progression / prise de bonnes habitudes pour A., donc je chauffe le spot. La so3 15 est un sacré planeur, ça fait toujours plaisir de transformer de la vitesse en portance, ou de reprendre un taquet de vitesse quand tu remontes progressivement les mimines.
Il y a 2-3 gros blocs de rocher sur la pente douce de fin de vol, de quoi s'essayer à changer sa trajectoire en vol avec des repères, sans pour autant risquer gros.

Alternances de brefs passages nuageux quelques dizaines de mètres plus bas dans le col, et de soleil. Le vent coupe souvent lors des passages au soleil...

C'est toujours dans ces moments que je remarque des rapaces qui cerclent. Milans, buses... Et là, c'est une djeune balbuzarde (ailes blanches -> femelle, petite -> jeune) qui me met la leçon de vol, tandis que je suis aile au sol. Y a un couple que je vois souvent à Ascou et Envalira, mais là, c'est pas la même taille.
Le vent coupe et se ré-axe Nord, je repasse dans le col, A. n'a pas vraiment étalé sa soul 15, J. déroule à peine sa barre... Et encore, c'est la "bonne", l'autre il ne l'a pas démêlée, depuis sa dernière session, en septembre dernier... .
Quelques petits vols sur les deux ressauts, rejoint par A., qui débute les vols barre inversée, et tentatives de corrections de défauts qui peuvent être dangereux (envoie l'aile bien trop fort, décollage sans vitesse, aile trop bordée,...), ça va que les pentes et vols sont courts.
Je repasse souvent à côté de J., mais son gonflage de boudin ne progresse pas, et je trouve que ce que j'avais compris comme étant une rebel, a de drôles de couleurs.
Le vent tourne plein Est, descendant la vallée dont j'enquillais les premières pentes plus tôt dans la session, c'est maintenant plein travers de la vallée principale, c'est dégueulasse... A. veut rester dans le col car c'est là qu'il y a les pentes, mais franchement, voler (en faisant des grosses erreurs d'envoi en pendule) dans des conditions de vent qui bascule de 90°, c'est pas une bonne idée. Les nuages cavalent NE sur les crêtes en face, on y va !
On replie dans le col à côté de J., je découvre que c'est une bandit première du nom, qui fuit des valves... C'est mort, heureusement qu'il a aussi pris sa 9 ! (J'avais aussi pris la speed 4 12 d'Aile-Iz pour prêter, mais vu son niveau, respect du matos et sens commun général, c'est nope).

20 minutes de marche sur piste damée et un sandwich plus tard, on est en haut de l'autre partie du spot, avec une pétole qui descend les pentes .

En face à gauche, les pentes où je volais le matin


J'ai bien essayé de rider, mais trop faible, trop à contre pente, je perdais au vent...
On décide de rentrer en descendant à travers les sapins, sous la ligne HT, puis traversée de route. On se sépare à l'attaque des sapins, la neige est surgelée et avec le snow nobile de 20 mètres de rayon de carre (le standard piste, c'est 8 m), ça tire tout droit et je les attends pas. En plus, il y a des voiles qui s'agitent en haut du col.

Ça le fait effectivement dans le col. Je pars sur les pentes de l'autre côté du ruisseau, puis pour la première fois, franchis un canyon que je n'avais jamais fait. Sur les 3 derniers mètres de la sortie de la face opposée du canyon ultra pente, j'y vais en mode "zéro prestige" : je me suis tôlé, et impossible dans le light et 40 degrés de pente, de se relever. Donc fin de montée à plat ventre, à grands coups de KL. Y a pu qu'à faire "honk honk", et je serai le parfait phoque... Quelques longs vols sur le spot du matin, puis rebelotte, le vent me met un avertissement. Je repasse sur le spot principal, et s'en suit une longue session de freestyle et mini vols avec A., J. n'essaye même pas de gonfler sa 9.
Vers 17h, le brouillard givrant s'installe, le vent est vraiment light, on se prépare à rentrer... C'est en nous préparant à tracter J. qu'il se rend compte que sa 9 a dû tomber de son sac (dont la fermeture est pétée), pendant la descente dans la forêt ... Recherche infructueuse de l'aile dans les débuts de la pente, puis retour.

Bref, une session sketch, mais une neige correcte, et pour ma part, la confirmation d'une aisance dans les vols et changements de trajectoire, c'est toujours sympa !

[balboxl]

Et un long dimanche de ride. Ça a commencé tôt, rendez-vous 7h avec E., ça pique ! En bon anti-restriction toussa toussa, il a pas le pass' et veut arriver au spot d'Ascou avant que la station n'ouvre, ce qui permet de remonter en kite par la piste. Sinon, une fois les remontées ouvertes, y a le forfait kiteux, qui permet de remonter jusqu'au spot, pour 5€, mais pour ça, faut le moultipass' comme dirait Leeloo.

Bref, on arrive dès potron-minet. Sur le parking, il y a déjà Laure & Guillaume (n2g) de flysurfer france en démo tour, avec l'Arriège Kite Asso. On retrouve C. et S. les locaux, et l'on fout les sacs d'aile et ski / snow dans le traineau de la motoneige, car exceptionnellement, le vent descend. Ça me rappelle la dernière carotte avec Aile-Iz , bon là, les prév' sont bien plus établies, et on est vraiment tôt, donc on croise les doigts que ça soit juste un léger catabatique de fin de nuit.
On grimpe quelques dizaines de mètres à pied, et C. revient de son premier voyage, et nous embarque sur la motoneige .

Gaaaaaz !


Je crois que je suis jamais monté aussi vite ! J'en suis sûr même. Arrivés en haut, quelques traces de vent à contre-pente, juste de quoi profiter du payasage :

Et discuter, et être admiratif de l'organisation et l'énergie déployée par l'AKA et FS France : groupe électrogène, barnum, blanquette ("comment est votre blanquette ?"), taquet de matos à tester, sono...

Ça va vraiment être la session à l'américaine : gros son (et bien choisi), soleil, montée en motoneige... Et le vent ? Il se lève, faisant hésiter la peak 13 de Guillaume, qui décolle puis repose. A la seconde bouffe, j'ai fini de sortir magik sonic, et je le rejoint. C'est light, mais avec une neige dure, ça grimpe tout de même, de quoi commencer les très nombreux vols de la journée...

L'axe du vol débute entre des sapinous (marrant), et a finale se fait à droite ou à gauche du barnum, dans l'axe de la sono, avec éventuellement un petit touch' and go d'un des piquets de la piste, idéal pour le show !

En début de vol


Avec le vent qui se renforce, je commence à devoir chercher à partir sur le côté pour ne pas monter trop haut, devoir gérer l'énergie pour ne pas me mettre des ressources de débile en arrivant sur les ascendances créées par les ressauts, à pouvoir voler avec de la vitesse, bras mi-hauts, à choisir des trajectoires... Bons moments en vol, avec une précision très gratifiante .

Le vent se lève un peu plus, du monde se lance (et ça commence à être plus touchy de viser une zone de replaquage entre les peak), E. va vers le sarrat des chèvres, s'y prend un but et revient, annonçant avoir tout de même trouvé une zone de neige souple dans le creux en chemin, celui qui avec sa dévente, lui a fait faire demi-tour. Toilé en 15, j'y vais, en deux coups de cuillère à pot : appuyé contre la pente, magik sonic m'y amène en un bord, profitant d'une bascule ( et d'un thermique ?), là où faut mettre 10 contre-bords dans la pente side d'habitude...
Traçage en règle de la combe de bonne neige :

Puis, ça a été tellement facile d'arriver jusqu'à ces pentes... Que la suite, le sarrat des chèvres, me tend les bras. Je choisis l'option couillon, celle qui consiste à passer au-dessus de la grosse corniche qu'on voit sur la photo au-dessus, en s'étant enquillé la crête (hachement pentue) en side.
Évidemment, y a bien plus de pente que sur les photos. Et bien plus de pente que vu d'en bas. La 15 fait un boulot fantastique, tout en puissance dosable, avec une finesse qui me fait monter dans l'axe de la crête. Par contre, j'ai pas assez peaufiné mon point de départ, faut dire que je pensais que je m'écarterais plus que ça de la crête, et devrais faire un contre-bord plus tôt. J'ai raté ce point de demi-tour, et je me retrouve verrouillé sur une trajectoire qui me fait passer trop proche du bord de la corniche, dans trop de pente pour faire demi-tour sereinement... Je serre les fesses, m'arrête, remonte leeeeentement la 15 au-dessus de la tête, en essayant de pas me faire arracher (et départ en vol sous le vent), ni de la faire traîner au zénith : pas envie de choper la première rafale qui passe... Le vent est propre, ça passe et je me lance sur un court contre-bord, l'aile qui tire au-dessus du vide, mais assez haute pour ne pas être déventée par la crête et sa ligne d'arbres... Moment pas serein du tout. C'est là qu'à une tentative l'année dernière, j'avais plié pour me faire 50-100 mètres à pattes. Je repars sur un meilleur bord, passe la corniche avec de la marge, et bascule côté sarrat, le dur est passé.

"This is a hold up !"


Bon, ça sera pas le casse du siècle : la neige y est pas gelée, mais pas poudreuse non plus. Deux bonnes descentes jusque tout en bas, le vent rentre de partout, à 90° de la crête, un bonheur..

Vu d'en bas


Y a un bon dénivelé s'il faut remonter à pieds. Et justement, le vent fait un truc bizarre... 3 fois que je me fais avoir dans cette zone, vers 13-14h... Ça loupe pas, à mi-distance de la 3ème montée, ça devient très très laborieux, puis ça coupe... Je me voyais déjà rentrer à pieds, j'ai même commencé à déchausser, quand une bouffe se fait sentir... Je l'enquille, je la lâche pas, et elle m'amène jusqu'en haut.

Je décide de rentrer non pas par la crête, mais par une combe un peu moins pentue - mais moins bien exposée pour la montée à l'aller. Et en plus, je sais qu'il y a un bouleau juste au centre, qui est assez traître et casse les loop de montée.
Je passe l'aile au zénith car je dois descendre une corniche, le drop transfert du poids dans le harnais... Aïe aïe aië, départ en vol de pente dos à l'aile mais barre non inversée, je le sens mal... A gauche, j'évite le bouleau mais je prends vraiment du gaz dans la ligne de plus grande pente, à droite je m'encastre dans la paroie si j'envoie trop fort, tout droit c'est le bouleau qui stop. Je tente un truc entre ces deux dernières options, je suis vraiment pas fan de prendre encore plus de gaz vu comment c'est mal engagé. Petit crash des familles amorti par un début de downloop, juste avant le bouleau, je me relève vite et me casse du coin.

Retour sur le spot principal, de la bonne ambiance, du thé chaud ( ), des voiles à tester... Je refuse poliment une peak, mais leur taxe une sonic3 9 qui est délaissée (la mienne est restée en bas), aile très sympa, mais malgré le fait que l'on soit au plus fort de la journée (15-20 nds), ça manque un peu de lift. Par contre, les passages plein gaz sur la piste (entre deux skieurs, qui passent tous les quart d'heure en moyenne) sont jouissifs, pleine balle, vent orienté parfaitement pour que l'aile ne sature pas mais ne dévente pas non plus, à enchaîner les grandes carves sur cette neige lissée et travaillée... Session à l'américaine qu'on vous dit : motoneige, sono, show, pistes damées....
Même E., qui est très "montagnard pur" dans sa pratique, apprécie aussi, ça change et c'est sympa une fois de temps en temps, à titre exceptionnel.

On retourne ensemble dans les combes préservées, on finit de les tracer :

Super session donc malgré une neige un peu dure (il n'était tombé que quelques centimètres la veille), j'ai enquillé des heures de vol , et l'ambiance était top !

[boZZo]

Journée poudreuse extraordinaine avec Thomas en guide.
Du jamais vécu! Whaou!

[balboxl]

En station, ou snowkite ?

[balboxl]

'tite ganguise aujourd'hui. 9-13°C, temps gris, vent d'autan prévu 20 nds -> normalement, ça devait être fort (20 nds pévus -> tabler sur 30), dense (air froid), plutôt régulier (temps gris -> moins d'activité thermique).

En arrivant, y a des moutons, 20 nds, j'hésite entre 15 et 9, je sors la 9...

le niveau d'eau est remonté


Ça s'avère mou : faut un peu travailler entre deux rafales, des fois je coule même (après avoir bloqué l'aile dans une rafale), et ça monte pas dans les sauts... Je passe en 15 au bout d'une demi heure, premier effet : plus besoin de gratouiller pour remonter au vent, c'est franc et massif ! Le vent est dégueux tout de même, inconsistant... Quelques beaux vols vers 10-12 mètres, mais aussi énormément de sauts de crapaud à 2 mèt' de haut...
Je serai seul sur l'eau durant toute la session, quelques windfoil et wing loin sous le vent vers le barrage, et un type en buggy sur les pentes du spot de départ. Il est en 4 et hallucine que je sois en 15 . Bon, dans les rafales à 25 nds, faut l'anticiper un peu, mais je suis pas trimé non plus.
Je coupe au bout de deux heures, l'eau est hyper froide, y a pas de soleil, et le vent de force trop variable, et pas assez dans l'axe de la vallée, ne permet pas de se mettre de bons sauts. Bon moment sur l'eau tout de même .

[popas1]

Il est en 4 et hallucine que je sois en 15 . Bon, dans les rafales à 25 nds, faut l'anticiper un peu, mais je suis pas trimé non plus.

Nous aussi on halucinerai si on commençait pas un peu à te connaitre.

Moi à 25 noeuds j'hesite entre 8 et 5m haha

[stef]

A 25, je suis en 4.5 depuis au moins 2 noeuds

[balboxl]

Ouais bah en général, on dit de "toiler pour les rafales". Histoire de ne pas être surtoilé pendant les rafales.
Si tu veux faire quoi que ce soit à la ganguise, faut toiler pour les molles. Et faire les appels de sauts juste avant le gros des rafales !